Communiqué
De nouveaux panneaux ont fleuri ces derniers temps dans la Ville rose.
Devant Freescale et Motorola, ces panneaux indiquent que nos usines sont en vente au plus offrant.
Apres avoir envoyé à Pôle Emploi des centaines de salarié-e-s, Freescale met le site en vente. Apres avoir liquidé une usine rentable, Freescale veut tirer encore plus d’argent en vendant le site. Tout est bon, peu importe les conséquences humaines et sociales.
C’est la liquidation des emplois et les plus-values en vendant les terrains et les bâtiments ?
La CGT Freescale a abordé la question avec le Maire de Toulouse.
Nous sommes d’accord avec M. Pierre Cohen : Le site de Freescale doit rester dédié à la création d’emplois.
A la création de Motorola (devenu Freescale), 134, avenue Eisenhower dans la Ville rose, le site de 20 hectares a été fourni pour une somme symbolique à l’entreprise dans la perspective de créer des milliers d’emplois.
Aujourd’hui, Freescale fait plutôt dans la liquidation des emplois. Alors logiquement qu’ils rendent le site à la mairie de Toulouse pour l’euro symbolique afin que la ville en fasse une pépinière d’entreprises créatrice aujourd’hui ou demain de nouveaux emplois.
La CGT Freescale, le 8 juillet 2013
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